Contact & Rendez-vous
Nos arrières grands parents, voire nos grands-parents ont trop souvent découvert la sexualité le soir de leur mariage et ont véritablement souffert d’un déficit d’information. À ce jour, malgré une information abondante, voire envahissante, la sexualité reste un tabou.
Malgré les efforts de l’Éducation Nationale (cours d’éducation sexuelle à l’école) il y a souvent un gros déficit d’information sur l’anatomie, la sexualité, la contraception et la responsabilité de la reproduction. Bien des parents, eux-mêmes insuffisamment informés, ne peuvent fournir à leurs enfants un abord sain et tranquille de la sexualité. L’accès à la pornographie s’étant démocratisé, celle-ci devient la principale source de références.
On a pu parler de libération sexuelle avec l’arrivée d’une contraception féminine accessible et assumée. Mais, même si cette maîtrise de la fécondité a changé la vie des femmes et leur a donné un deuxième élan d’indépendance (le premier en 1914 quand les hommes étaient au front), le sujet reste délicat.
Certes, grâce à Simone Veil, l’avortement est dépénalisé (et non pas “libéralisé”) en 1975. Ce qui ne laisse pas indemnes les trop nombreuses femmes qui doivent y recourir.
"Aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. C’est toujours un drame et cela restera toujours un drame. Ce projet s’il admet la possibilité d’une interruption de grossesse, c’est pour la contrôler et, autant que possible, en dissuader la femme." (Discours de Simone Veil du 26 novembre 1974)
Elles ne sont plus des “serials mamans” mais peuvent décider de la construction de leur famille dans le temps et dans le nombre. Cette liberté est parfois chèrement payée : le monde a changé, mais il faut encore et toujours s’adapter !
La question de la contraception reste encore trop du domaine de la femme, comme la décision de procréer et, comme le sera souvent la question de l’éducation des enfants, trop souvent confiée à la mère et que de plus en plus de pères responsables réclament.
Contact & Rendez-vous
C'est la prise en charge des troubles en lien avec la sexualité.
Beaucoup démarrent un parcours sexuel apparemment tranquille et plus ou moins satisfaisant puis se trouvent parfois plus tard en proie à des questionnements :
Et toutes ces interrogations ne sont pas directement en lien avec la mécanique de la sexualité, mais en rapport avec la façon dont on l’a intégrée : tabou, sale ou encore synonyme de performance, de devoir…
Dans tous les cas, c’est un signal qu’il y a des choses à recadrer dans son histoire, des blessures d’enfance à guérir.
Contact & Rendez-vous
Parce qu’on ne trouvera pas toutes les réponses sur YouTube. Quand on n'ose pas interroger ses proches, il est plus facile de faire le point avec un interlocuteur compétent.
Parce qu’il existe des praticiens qui se sont spécialisés sur ce sujet particulier.
Parce qu’il est important de pouvoir échanger en toute sécurité, avec bienveillance et sans jugement.
La séance commence par l'exposé de la problématique, de ses origines, de ses modalités et de ses effets.
Ensuite, seront posés d'un commun accord des objectifs. Pour les atteindre, il existe :
Et si nécessaire, le recours aux outils classiques de la thérapie individuelle.
Bien entendu, aucun contact inapproprié ne sera autorisé pendant ces séances.
Parfois, la question est personnelle, mais parfois, elle engage des problèmes relationnels de couple ou peut renvoyer à des notions d’abus sexuels.
Contact & Rendez-vous